Le débat porte sur un livre : « Dealer légal » qui explique les techniques de recrutement, peu communes, des commerciaux au sein de la société qui commercialise l’alcool anisé. La capacité à résister à l’alcool été monnaie courante pour le recrutement et la société s’est retrouvée responsable de la déchéance d’au moins l’un d’entre eux, que Ricard a ensuite licencié après l’avoir rendu alcoolique. La cour a donc décidé de laisser « le bénéfice de la bonne foie » aux personnes visées en arguant sur un « problème d’intérêt général, la santé publique ».
Un p’tit jaune pour la route ?