Des protections garanties sans additifs
Dans son étude sur la sécurité des produits de protection intime publiée en juin 2018, l’Alliance nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) recommande « d’améliorer les procédés de fabrication des protections intimes afin de réduire autant que possible la présence de substances chimiques dangereuses dans les matériaux constitutant les protections intimes« . Face aux risques sanitaires encourus, Jho veut « proposer une solution sans danger pour les femmes » : les tampons sont fabriqués à partir de coton bio et les serviettes périodiques sont produites à partir de plastique végétal, à base d’amidon de maïs.
Un impact social positif
Jho travaille main dans la main avec les ONG Girls Excel, qui distribue des protections périodiques dans les zones rurales et camps de réfugié-e-s du Cameroun, et Gynécologie sans frontières, qui distribue des protections périodiques aux femmes réfugiées en France.